Perturbations psychologiques

La condition des perturbations psychologiques

Il y a des perturbations importantes dans les pensées, les sentiments et les comportements. Une personne doit éprouver des états intérieurs (des pensées et/ou des sentiments) et afficher des comportements qui sont clairement perturbés, c’est-à-dire inhabituels, mais d’une manière négative et autodestructrice. Souvent, de telles perturbations sont troublantes pour l’entourage de la personne qui en fait l’expérience. Par exemple, une personne qui est préoccupée de façon incontrôlable par des pensées de germes passe des heures chaque jour à prendre un bain, a des expériences intérieures et affiche des comportements que la plupart considéreraient comme atypiques et négatifs (perturbés) et qui seraient probablement troublants pour les membres de sa famille.

L’action des perturbation sur le plan psychologique

Les perturbations reflètent une sorte de dysfonctionnement biologique, psychologique ou développemental. Les modèles perturbés d’expériences et de comportements intérieurs devraient refléter un certain défaut (dysfonctionnement) dans les mécanismes biologiques, psychologiques et développementaux internes qui mènent à un fonctionnement psychologique normal et sain. Par exemple, les hallucinations observées dans la schizophrénie pourraient être un signe d’anomalies cérébrales. Un psychologue à votre disposition à la Louvrière sur www.psychologue-la-louviere.be.

Perturbations psychologiques

Ces perturbations entraînent une détresse ou une incapacité importante dans la vie d’une personne. On considère que les expériences et les comportements intérieurs d’une personne reflètent un trouble psychologique s’ils lui causent une détresse considérable ou s’ils nuisent grandement à sa capacité de fonctionner comme un individu normal (souvent appelé déficience fonctionnelle, ou déficience professionnelle et sociale). Par exemple, la peur d’une personne face à des situations sociales peut être si pénible qu’elle l’amène à éviter toutes les situations sociales (p. ex. empêcher cette personne d’assister à un cours ou de postuler un emploi).

Les perturbations ne reflètent pas les réactions attendues ou culturellement approuvées à certains événements. Les perturbations des pensées, des sentiments et des comportements doivent être des réactions socialement inacceptables à certains événements qui se produisent souvent dans la vie. Par exemple, il est tout à fait naturel (et attendu) qu’une personne éprouve une grande tristesse et souhaite être laissée seule à la suite du décès d’un membre de sa famille proche. Comme de telles réactions sont, d’une certaine façon, culturellement attendues, on ne présumerait pas que la personne est atteinte d’un trouble mental.

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